Jeanne Michel, de Montagny, qui n’a pas respecté une peine de bannissement précédemment prononcée contre elle, est suspectée de sorcellerie en 1647 et condamnée bannissement à perpétuité. En 1649, elle est à nouveau arrêtée pour n’avoir pas respecté la deuxième peine de bannissement prononcée contre elle. Elle est suspectée de sorcellerie et perçue comme possédée, raison pour laquelle un exorcisme est pratiqué. Elle est ensuite interrogée et torturée à plusieurs reprises, et condamnée au bûcher, mais bénéficie d’une mitigation de peine : elle est étranglée avant d’être brûlée.