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SSRQ FR I/2/8 135.13-1

Sammlung Schweizerischer Rechtsquellen, IX. Abteilung: Die Rechtsquellen des Kantons Freiburg, Erster Teil: Stadtrechte, Zweite Reihe: Das Recht der Stadt Freiburg, Band 8: Freiburger Hexenprozesse 15.–18. Jahrhundert, da Rita Binz-Wohlhauser e Lionel Dorthe

Citazione: SSRQ FR I/2/8 135.13-1

Licenza: CC BY-NC-SA

Catherine Fruyo-Magnin – Verhör und Urteil

1647 settembre 10 – 11.

  • Collocazione: StAFR, Thurnrodel 14, S. 470–471
  • Data di origine: 1647 settembre 10 – 11
  • Supporto alla scrittura: Papier
  • Lingue: francese, tedesco

Berchtold n’a pas édité ce passage, qui provient pourtant du Thurnrodel.

Testo editionale

ThurnLuogo: , 10 septembrisNell'originale: 7brisCambio di lingua: latino 1647Data di origine: 10.9.1647

HrAbbreviazione großweibelNell'originale: groß1
HrAbbreviazione ReynoldtPersona:
CasparNell'originale: C TechtermanPersona:
SchallerPersona:
Des GrangesPersona: , VonderweydtPersona:

Catherine MagnynPersona: est demeuree constante dans sa negative, sans rien varier, disant luy estre arrivé grand tort par ceux qui l’ont accusé sur cas de sorcellerieTermine: et autres crimesTermine: , au moien de quoy elle est reduicte aux prisons, deshonoree toutte sa vie et tortureeTermine: a tort, mais le tout au nom de Dieu, auquel elle offrit tous les tormentsTermine: qu’on luy faict. DitCorrezione al di sopra della riga, sostituisce: Nyea entierement que la cicatrice qu’elle a au col n’est point une marque du malingTermine: , ains d’un mal de sainct, ayant touttes les fois qu’on luy a planté l’esguille dedans, ehu grande doulleur et senty les poincts dedite esguille.
Estant en oultre examinee sur tous les articles de la nouvelle inquisitionTermine: , a dit qu’ayant estee malade l’espace de 14 joursPeriodo: 14 giorni de ce que sa soeur luy apparut aprés de son deces a cause de certains habits qu’elle luy avoit retenuz, comme est dit cy devant, et estant visitee par Franceysaz AubersonPersona: , elle la detenue luy racompta tout ce que s’estoit passé touchant sa dite soeur, sans mal penser. Lors qu’on conduisoit certaine fille espousé pour accomplir le mariage, confesseTermine: avoir dit (pour luy avoir icelle retenu ses peines et sallaires de certain menu linge qu’elle luy avoit cousu) qu’on menoit la chieneTermine: au chienTermine: , de quelle mesdisance et parroles temerairement proferues s’en repentit tout incontinentTermine: et s’en confessaTermine: dheuement, sans jamais avoir songé a aucuns charmesTermine: , des quels elle ne s’est onques servie.
Nie d’avoir demandé a personne si ceux qui se donnoient au malingTermine: estoient damnez, que jamais cela se constera, le sçachant bien sans le demander. Que Jean BersetPersona: ne luy a jamais dit sorciereTermine: , ny dit qu’elle luy avoit faict mecheoirTermine: un chevalTermine: , autrement s’en fust dheuement purgee par voie accoustumee de droit. Vray est que ses enfants et ceux dudit BersetPersona: soy battoient souvent et disoient mutuelles injures, desquelles n’est aucunement culpable. Et lors que sadite soeur luy apparut, ses enfants, sçavoir AntheynoPersona: et FrançoisePersona: , qui dormoient avec elle, l’avoir aussy bien veue [p. 471]Interruzione di paginaqu’elle. Ce qu’elle soustient au pressoirTermine: de la jambe environ ¼ d’heurePeriodo: 15 minuti plus ou moings, demandant humblement pardon.2

b–In ihrem huß confiniertTermine: .Aggiunta sul margine sinistro–b3

Annotatione

  1. Correzione al di sopra della riga, sostituisce: Nye.
  2. Aggiunta sul margine sinistro.
  1. Gemeint ist Hans Rudolf VonderweidPersona: .
  2. Le passage qui suit concerne les procès menés contre Isabelle Grosset-FornerodPersona: et Madeleine Gillet-RichodPersona: . Voir SSRQ FR I/2/8 136.3-1, SSRQ FR I/2/8 132.11-1.
  3. Ce passage se trouve dans la marge de gauche, au début du procès-verbal de l’interrogatoire.